Les premiers réfugiés pharmaceutiques d’Europe ?

MISE À JOUR DU 03.10.2023

Les premiers réfugiés pharmaceutiques d’Europe ?
03.10.2023
Par Linda Kratky

Résumé avec mise à jour :

Depuis plus de deux semaines, l’autorité de protection de l’enfant et de l’adulte KESB Gelterkinden-Sissach ne serait pas joignable et refuserait à la représentation juridique de Mme Honegger l’accès actuel au dossier. Le 14 septembre 2023, un piquet permanent pour les droits de l’enfant et contre la vaccination forcée a été organisé devant la KESB à Sissach (BL).

On a tenté de faire suspendre la décision d’exécution par la KESB Gelterkinden-Sissach du 8 août 2023 concernant la vaccination forcée de deux enfants sous la menace de la force policière, en se basant sur un arrêt du Tribunal fédéral du 16 juin 2020. Le lundi 18 septembre 2023, le porte-parole Marek Schäfer de l’association PIU pour les droits de l’enfant a déposé une demande de reconsidération écrite détaillée et une déclaration de nullité auprès du KESB à Sissach BL. Le rendez-vous annoncé a été refusé, même après un appel à la KESB. La sonnette près de la porte d’entrée a été déclarée défectueuse 10 minutes avant le dépôt et l’est restée pendant plusieurs semaines. Le dépôt des documents et d’une documentation sur le vaccin problématique sous forme de CD dans la boîte aux lettres de la KESB Gelterkinden-Sissach a été accompagné par Hoch2.tv, des activistes indépendants et les Freiheitstrychler (sonneurs de cloches de liberté).

Jusqu’à présent, il n’y a eu aucune réaction de la part de la KESB, à l’exception d’un accusé de réception électronique, ni de la part de la Direction de la Sécurité (SID) de Bâle-Campagne, du médecin vaccinateur ordonné, le Dr Domenico Rinaldi, ou du Conseil d’Etat du canton de Bâle-Campagne. La députée verte de Bâle-Campagne Laura Grazioli n’a reçu que des « non-réponses vagues » aux questions qu’elle a posées au Conseil d’Etat. La KESB est soumise à l’obligation de tenir des dossiers, obligation qui a été violée lorsque les lettres des visiteurs du premier jour de la veillée de Sissach n’ont pas été reçues correctement par la KESB – de nombreuses lettres ont été déposées négligemment et sans réponse à côté de la boîte aux lettres.

Le père des enfants concernés n’est pas disposé à discuter et semble toujours vouloir faire vacciner ses enfants. Depuis septembre 2022, une procédure civile est en cours auprès du tribunal d’arrondissement civil de Bâle-Campagne Ouest concernant la garde des enfants, dans le but de retirer les deux fils à la mère. Le délai d’exécution pour la vaccination contre la rougeole a expiré le 15 septembre 2023, Mme Honegger a certes tenté d’obtenir un rendez-vous avec le médecin vaccinateur pour un entretien, mais celui-ci ne lui a même pas été accordé. Le médecin a été informé par écrit par l’association PIU qu’un traitement violent des enfants entraînerait des conséquences juridiques. Pas de réponse ni d’offre – « la mère est systématiquement criminalisée », elle doit s’attendre à tout moment à ce que ses deux enfants soient interceptés par la police à l’école ou pendant leur temps libre, ou à ce qu’on vienne les chercher à la maison pour leur faire subir de force une vaccination contre la rougeole. Les enfants ne souffrent pas du désaccord des parents, mais de la menace de l’autorité de protection de l’enfant et de l’adulte, qui devrait protéger les enfants.

Les enfants bénéficient du soutien de l’école, qu’ils ne pouvaient plus fréquenter régulièrement pour des raisons de sécurité, ils étaient en congé maladie avant les vacances scolaires. L’école à domicile a été possible pendant cette période difficile, l’école a pu contribuer à l’organisation de cours privés et mettre à disposition du matériel scolaire. Les enfants se portent actuellement bien et sont en vacances avec leur mère. Il n’est pas certain que la situation soit rétablie après les vacances, compte tenu de l’attitude favorable du canton de Bâle-Campagne à l’égard des mesures coronariennes et des médicaments.

« Du point de vue de la santé, c’est un problème, c’est un problème si les enfants doivent toujours s’inquiéter d’être enlevés à l’école et qu’ils ne veulent justement pas que cela se produise. Les enfants ne le veulent pas, ils ne veulent ni être vaccinés, ni être enlevés, ni être immobilisés, ni être vaccinés de force. Ils ne veulent surtout pas être vaccinés […] avec un vaccin qui pose problème. Ils étaient déjà contre la vaccination avant, ils sont encore plus contre la vaccination maintenant ». Le vaccin prévu pour la vaccination obligatoire ordonnée est potentiellement cancérigène et contient des cellules cancéreuses du col de l’utérus (soi-disant pas des cellules souches), appelées cellules HeLa.

L’Institut suisse des produits thérapeutiques Swissmedic n’a pas encore pris position à ce sujet, mais s’est montré ouvert à une date de discussion qui n’a pas encore été fixée. Dans la demande de réexamen adressée à la KESB, il n’est pas seulement fait mention de connaissances à prendre en compte concernant la problématique du vaccin contre la rougeole potentiellement cancérigène, qui peut notamment être contaminé par des cellules HeLa impures, mais aussi de l’audition des enfants, impérativement nécessaire selon les quatre principes de la Convention de l’ONU relative aux droits de l’enfant et qui n’a pas encore eu lieu. Ainsi, on en reste actuellement au statu quo, les enfants sont dépendants de la protection et de la scolarisation à domicile et vivent actuellement dans un canton qui les «discrimine politiquement», les harcèle et les menace de violence. Les membres de la famille suisse concernés pourraient devenir «les premiers réfugiés pharmaceutiques d’Europe». Le canton de Bâle-Campagne devrait accorder plus d’importance aux intérêts des personnes qu’à ceux des lobbies pharmaceutiques et ne pas appliquer ces derniers avec des méthodes de Rambo comme à l’époque de Corona.

La conseillère d’Etat PS Kathrin Schweizer de la Direction de la Sécurité de Bâle-Campagne à Liestal BL est responsable de l’autorité de surveillance de l’autorité de protection des enfants et des adultes KESB et a été contactée par l’association PIU. Les insuffisances et les plaintes sont enregistrées dans des rapports sur la KESB et publiées par la Direction de la Sécurité. On attend donc de la police et de la Direction de la Sécurité qu’elles refusent un éventuel mandat de vaccination forcée en raison de la nullité de la décision d’exécution de la KESB, de l’absence d’un vaccin sûr et de l’absence de l’audition nécessaire de l’enfant et qu’elles sanctionnent en bonne et due forme tout éventuel comportement fautif de la KESB relevant du droit pénal et administratif. Une audition d’enfant devrait se dérouler dans un environnement sûr, une levée de l’ordre créerait cette sécurité.

Maintenant, trente et une communes supplémentaires de Bâle-Campagne, qui relèvent de la compétence de l’autorité de protection de l’enfant de Gelterkinden-Sissach, doivent être invitées à une conférence ouverte. L’autorité de protection en question à Sissach a déjà été discréditée à plusieurs reprises en raison de comportements répréhensibles connus, qui ont entre-temps fait l’objet de quelques articles dans les médias dominants. Les communes doivent enfin assumer la responsabilité de ce “cas de catastrophe chaotique” d’une autorité et réorganiser enfin cette KESB afin qu’elle travaille proprement et prenne les bonnes décisions non seulement dans le “cas Honegger”, mais aussi dans tous les autres cas à venir. Les personnes ne doivent pas être rejetées, poussées dans une situation insupportable ou vivre dans la peur et l’angoisse, l’obligation scolaire et les droits de visite ne doivent pas être mis en danger. L’association PIU attend la participation de toutes les communes à la dite conférence afin de pouvoir examiner les reproches d’abus de pouvoir adressés à la KESB et de corriger les éventuels dysfonctionnements.

Le porte-parole Marek Schäfer de l’association PIU a reçu le 2 octobre 2023 un appel de la police de Bâle-Campagne ainsi qu’une lettre du chef d’équipe du service d’enquête opérationnelle de la police judiciaire de Bâle-Campagne, qui souhaitait s’assurer que Mme Honegger et ses deux fils allaient bien. Le porte-parole a immédiatement proposé une rencontre personnelle au chef d’équipe du service d’enquête afin d’échanger sur la sécurité de la famille dans le canton et de clarifier les questions en suspens, à savoir si la police interviendra – malgré une décision nulle et non avenue -, si elle arrêtera les enfants et les fixera pour les vacciner de force chez le docteur Domenico Rinaldi et comment elle se comportera. Si le responsable de l’équipe peut s’exprimer, il est préférable qu’il le fasse par écrit ; sinon, il est souhaitable qu’une personne compétente le fasse. La représentation juridique de Madame Honegger n’est pas autorisée, en raison de son devoir de discrétion, à communiquer l’emplacement de la mère des deux enfants si les autorités devaient le demander.

La sécurité de Mme Honegger et de ses enfants est garantie, cela sera également confirmé publiquement par un enregistrement vidéo de la famille, afin que la police judiciaire de BL ait la certitude correspondante. Il y a plusieurs raisons humaines à l’absence du domicile de la famille, d’une part pour protéger les enfants des agressions des autorités et d’autres personnes impliquées, d’autre part pour avoir la paix pendant un certain temps face au tapage médiatique. Dans cette situation inextricable, on peut se demander si c’est un véritable intérêt et un souci du bien-être des enfants qui ont conduit à cette enquête policière ou s’il s’agit d’une manœuvre élégante de la part du canton ou d’autres donneurs d’ordre pour déterminer de cette manière l’emplacement de la mère en vue de l’application de l’obligation de vaccination.

La Direction de la Sécurité (SID) souhaite-t-elle faire vacciner les enfants ou s’occupe-t-elle du traitement sérieux des cas et fait-elle preuve de compréhension pour l’absence de vacances ? Dans tous les cas, le porte-parole de l’association PIU est tenu de transmettre un signe de vie de la famille à la police, tout en faisant protéger les intérêts de Mme Honegger par le service juridique de l’association. L’objectif du dialogue avec la police judiciaire est également de rétablir la sécurité pour la famille, en particulier lorsqu’ils retournent à leur domicile après les vacances.

C’est déjà le vingt-et-unième jour de la “Mahnwache Sissach” permanente – pour les droits de l’enfant et contre la vaccination forcée, qui a vu le jour le 14 septembre 2023 par solidarité avec les enfants et la mère menacés par la vaccination obligatoire. La veillée sert en outre à donner un signal médiatique, à informer la population et à exercer une pression constante et pacifique sur la KESB, située à la Hauptstrasse 115 à Sissach. Une fois par semaine, une heure de prière commune et interconfessionnelle pour la vérité et la justice est organisée. Toutes les personnes sont cordialement invitées à rendre visite à la veillée de Sissach et à se faire une idée sur place.

La discussion ouverte d’une heure et demie entre le chef d’équipe du service d’enquête opérationnelle de la police criminelle de Bâle-Campagne et le porte-parole de l’association PIU s’est déroulée de manière amicale. Le contexte de la prise de contact par la police était un avis de disparition reçu par un avocat de la partie adverse. Il n’y a pas de mandat de la KESB Gelterkinden-Sissach pour présenter les enfants concernés à la vaccination obligatoire et il ne s’agit pas d’un comportement politiquement motivé de la part de la police. Une preuve que la famille va bien sera apportée d’un commun accord d’ici la fin de la semaine.

La situation ne doit pas dégénérer et la police ne doit pas être utilisée pour faire des exemples avec les enfants. Une personne de contact compétente sera mise à disposition par la Direction de la sécurité (SID), qui pourra s’entretenir avec l’association PIU et Mme Honegger au sujet de la sécurité. La police judiciaire a été informée du comportement de la KESB et du contexte. Selon elle, la police n’est pas tenue de respecter certaines règles, mais doit se conformer aux principes constitutionnels et à la loi sur la police. «Quiconque assume une tâche de l’État est tenu de respecter les droits fondamentaux et de contribuer à leur réalisation». Art. 35 al. 2 Cst. (Art. 35 Réalisation des droits fondamentaux). Une arrestation violente des enfants nécessiterait une base juridique qui n’existe effectivement pas actuellement, selon le SID, tout comme la proportionnalité impérative.

La police de Bâle-Campagne ne peut pas violer les droits fondamentaux des enfants, comme le manque d’audition des enfants, et elle ne peut pas utiliser la violence contre les enfants. Dans le «cas Honegger», il s’agit de deux enfants capables de discernement qui ne veulent pas être vaccinés contre la rougeole, qui disent très clairement non et qui s’opposeraient physiquement à une vaccination forcée. Même s’il n’y avait pas de décision nulle pour défaut d’audition de l’enfant et même s’il existait un vaccin individuel sûr contre la rougeole (voir la problématique des cellules cancéreuses HeLa avec la souche Edmonston-Zagreb), les enfants devraient être traités par la force en vue d’une injection, ce qui ne serait pas proportionné. «L’activité de l’État doit répondre à un intérêt public et être proportionnée au but visé». Art. 5, al. 2, Cst. (Art. 5 Principes de l’activité de l’État régi par le droit).

L’espoir est que la Direction de la Sécurité (SID) de Bâle-Campagne se comporte conformément à la loi. La procédure ignorante et les méthodes inhumaines de la KESB à Sissach doivent être stoppées et cette soi-disant autorité de protection, qui menace actuellement les enfants de peur et d’angoisse et de dommages corporels et matériels, doit être examinée et réorganisée dans tous les cas. Les trente et une communes susmentionnées des districts de Sissach BL et Waldenburg BL doivent maintenant réorganiser ensemble, sous la surveillance de la direction de la sécurité (SID) BL, l’actuelle KESB Gelterkinden-Sissach, qui est inacceptable. Les personnes concernées négativement par la KESB peuvent s’adresser à l’association PIU et à d’autres services.

De la chance dans le malheur et des pas dans la bonne direction. Le «cas Honegger» n’aurait jamais dû évoluer et dégénérer au point de nécessiter des entretiens avec la police judiciaire. Le père des enfants ignore la santé psychique et physique ainsi que les droits de ses enfants. La KESB ne fonctionne pas et le père devrait déjà se voir retirer le droit de garde de ce point de vue. Grâce à l’action agressive de l’avocat du père de l’enfant, les personnes concernées ont heureusement eu la satisfaction de pouvoir parler avec des collaborateurs des autorités et de constater que ceux-ci prennent le droit et la Constitution au sérieux et que les enfants peuvent se sentir protégés jusqu’à nouvel ordre.

Interviews et articles sur Hoch2.tv (les traductions suivront !):

Mediator Marek Schäfer: «Frau Honegger und ihre Söhne könnten zu den ersten Pharma-Flüchtlingen Europas werden» – 3. Oktober 2023

Kurzreportage: Antrags- und Beweisabgabe bei KESB Sissach & Besuch bei Impf-Arzt – 18. September 2023

Menschen setzen Zeichen: Mahnwache bei KESB-Sissach gegen Impfzwang – 15. September 2023

Die Staatsimpfung als Verbrechen: Wenn durch Zwangsvollstreckungen Krebsrisiken grob fahrlässig in Kauf genommen werden – 13. September 2023

Impfung durch Kinderschutzbehörde (KESB) mittels Polizeizwang verfügt – 23. August 2023

Mises à jour sur le « cas Honegger » :
https://staatsimpfung.ch/

Autres sources d’information :
https://transition-news.org
https://hoch2.tv/